La nuit fut plutôt bruyante. Les activités sur le fleuve sont ici à Cai Be beaucoup plus nombreuses qu’à Can Tho. Le passage des navires et autres embarcations est donc plus intense. Pour de nombreux bateaux, le moteur se trouve à l’extérieur et non intégré dans la coque. A nu, il retentit. Un bruit de tracteur toussif et claquant traverse de temps en temps la nuit. Je dors la fenêtre ouverte en raison de la chaleur (je déteste l’air conditionné) et lorsqu’un moteur passe, il résonne dans ma cabine. Monsieur Kinh acquiesce à propos du volume sonore de ce bras.
Encore un petit déjeuner d’athlète! Comme la veille! Jus d’orange, omelette, pain, confiture, des fruits: fruit du dragon, ananas, mangue et cette sacrée vache qui rit. Elle est partout celle-là ! Un peu comme Lipton ou Nescafé, ces produits reconstitués et prolétaires n’ont pas de frontière. Est-ce parce qu’ils n’ont aucun goût, ou plutôt un goût standardisé, qu’on peut en acheter dans tous les coins de la planète? Une nouvelle fois, je me régale. Que sera mon dernier déjeuner à bord?
Rapidement, nous partons faire notre balade du coin en petit bateau. Nous passons d’abord au marché flottant de cette ville. Comme me l’avait dit monsieur Kinh, il est beaucoup moins animé – moins de vendeurs – mais du coup, plus perceptible, plus « proche ». Comme à Can Tho, l’urbanisation est constituée de maisons en tôle ou en « dur » avec l’arrière côté fleuve et l’avant, côté rue, la partie du magasin en fait, sur la rue. Le Vietnam est un société de commerçants, qu’on se le dise!
Contrairement à la veille, nous débarquons à plusieurs reprises. Nous empruntons un canal pour aller voir une fabrique de riz soufflé – c’est intéressant et bon – puis une fabrique de galettes de riz, les fameuses qui servent à confectionner les rouleaux de printemps, les nems… Pour la première, ça sent un peu l’attraction touristique et les installations et présentoirs sont parsemés d’objets en tout genre en plus de gâteaux de riz soufflé. La deuxième par contre me met au contact d’une femme assise chez elle, devant un feu qui fait dans un premier temps ses galettes comme on fait une crêpe puis les met à sécher sur une vannerie en bambous, ce qui laisse en fait des empreintes sur les galettes. La rencontre avec cette artisane comme avec la mamie qui fabrique le riz soufflé à la main dans les cendres chaudes se fait avec le sourire. Le timing est aussi excellent. Monsieur Kinh a bien orchestré tout cela car peu de temps après que nous partons arrivent des bateaux emplis de touristes. Systématiquement je les évite… Cédric le pacha, seul dans son bateau, quand les autres sont entre 15 et 20.
Nous glissons ensuite dans un tout petit canal très calme pour aller voir une maison coloniale qui a deux cents ans. Le trajet me ravit. Nous sommes a une jetée de pierre des rives et je peux admirer et observer la vie. Je privilégie ces moments comme un reporter à l’aventure.
La bâtisse de style chinois est superbe. Elle a été rénovée il y a peu de temps par le Japon. Transmise depuis des générations dans la même famille, elle est la relique de pratiques séculaires. L’organisation est très précise: la partie commune pour les réceptions, les fêtes, les mariages…, la partie privée, le côté paternelle (gauche), le côté maternelle (droite). Le complexe est en fait assez grand et a été aménagé pour ne pas périclité en raison du coût de l’entretien. Il est donc possible d’y séjourner, d’y manger. Monsieur Kinh m’invite à déguster des fruits – pastèque, rambutan, mangue, fruit du dragon – en buvant du thé à une des tables de l’arrière cour. Détente. Ce havre de paix fut construit en 1860 par les maçons de Hue. Au départ, il appartenait à un mandarin. Les trésors qui s’y trouvent sont inestimables…
Nous repartons vers le bateau qui lève l’ancre et se dirige vers la dernière destination: My Tho. Je me pose sur mon toit pour prendre le soleil. Il fait beau et chaud et bien que le ciel soit couvert, ça tape fort. Bonheur. Peu de temps après, mon guide m’interpelle.
– On est arrivé pour faire la balade en vélo. Il faut y aller.
– Ca y est… le général Kinh a remis sa casquette…
– Comment?
– Non, non. Rien… Combien de kilomètres aujourd’hui?
– Moins qu’hier. Environ 12 kilomètres je pense. Vous verrez, le trajet n’a rien à voir.
– C’est parti!
Nous débarquons sur un tout petit ponton qui annonce la taille de la route du jour. Je découvre devant moi une route étroite de terre rouge.
– C’est notre chemin?
– Oui, c’est notre chemin.
– Génial! Je sens que ça va me plaire. Rien à voir avec la route goudronnée d’hier.
– Oui, aujourd’hui, on va passer au milieu des vergers et des petits villages.
Contact.
Je balaie le paysage de mes yeux pendant que je pédale. Il y a trop de choses à voir. Ici encore, les habitations me frappent par la diversité de leur réalisation, d’un extrême à l’autre. De temps en temps, ce sont des cases en bois qui doivent être soufflées dès qu’il y a un typhon, de temps en temps des constructions kitschissimes avec portail, signe d’un certain aboutissement dans sa vie de commerçant. En voyant ces maisons colorées, les pièces grandes ouvertes, le carrelage, j’ai l’impression d’être dans un film indien et que la maîtresse de maison va sortir en chantant et dansant vêtue de son sari. Les valeurs sont différentes et j’imagine qu’une telle construction est un signe extérieur de richesse. Chaque famille arrive à faire construire de telle maison au bout de 10 ans environ. Nous nous arrêtons d’ailleurs dans l’une d’elles pour boire un thé. Rencontres. L’ancienne (la première) partie est encore là et la nouvelle est bâtie à côté ou devant.
J’en aperçois beaucoup qui sont en construction pendant la balade. La façade et les murs colorés cachent des briques. J’aperçois aussi des entrées de village signalées par des « portes » qui signalent le nom et le statut. Il s’agit en fait d’une « arche » métallique posée sur le chemin sous laquelle on passe pour « entrer » dans le lieu-dit. Evidemment, on est loin de la signalisation française avec son panneau blanc sur le côté de la route.
Je m’arrête pour prendre une de ces « portes » avant de repartir et le guide m’explique ce qui est indiqué à l’entrée:
– Nous traversons en fait un village subventionné par le gouvernement.
– Subventionné?
– Oui, oui.
– Surveillé?
– … hmmm… subventionné.
– Qu’est-ce que ça donne concrètement?
– Ici les règles sont strictes: pas d’alcool, peu ou pas de tabac.
– Ah oui…
– L’éducation des enfants est obligatoire.
– Ca, c’est plutôt bien.
– Oui. Les enfants reçoivent la même éducation par des professeurs certifiés et c’est pris en charge par le gouvernement. L’école est gratuite au Vietnam mais envoyé un enfant coûte cher. Il faut payer les fournitures scolaires, l’uniforme… ça revient très très cher à beaucoup de famille qui arrivent à peine à subvenir à leur besoin…
Je dois dire « Hellooouuuu! » une bonne centaine de fois, le tout dans des sourires. Beaucoup de gens s’arrêtent dans ce coin aussi pour regarder ce cortège inhabituel. De part le chemin, de part la proximité, je peux prendre plus facilement des photos que la veille. Le chemin étant aussi un peu moins long, je m’arrête volontiers. Un peu plus loin, la route de terre se transforme en « route » à dalles de béton. La largeur ne dépasse pas deux mètres et lorsqu’il y a des vélomoteurs, on se frôle. Sourires. La hauteur aussi est souvent basse: plus d’une fois je baisse la tête Oups, je n’avais pas vu! pour passer sous des bananiers, des palmiers ou autres… La randonnée d’aujourd’hui est pleine de sensations et j’en suis très heureux.
Douze kilomètres plus tard, nous retrouvons le bateau qui nous attend tranquillement. Avant le déjeuner, je peux faire une petite pause même si je n’en ai pas du tout l’utilité puisque je me repose et suis pris en charge depuis 2 jours. Quand je suis appelé pour mon déjeuner où « vous pouvez tout demander!« , j’arrive à la table avec les glandes salivaires déjà en pleine action! Comme prévu la veille, des nems ont été préparés. Ils sont en fait avec du vermicelle de riz et non avec la galette classique. Je découvrirai plus tard qu’il s’agit en fait de la recette du sud, légèrement différente. Ceux-ci sont très mignons et magnifiquement présentés. Je me goinfre une première fois! Ils sont divins! Suivent des crevettes au lait de coco qui sont cuites directement sur la table. Elles sont bien fraîches et croquantes. Le troisième plat est du porc grillé au sésame et à la citronelle. Les saveurs me font pleurer de bonheur. Vraiment! C’est ma-gni-fi-que! La cuisine sud-asiatique est riche en parfums et donne envie de tout essayer! Le porc se mange avec du vermicelle de riz bouilli (?), le tout arrosé de nuoc mam. La cerise sur le gâteau arrive dans une petite assiette mais c’est une pomme! J’avais remarqué ce fruit dans les marchés sans oser le goûter. Il s’appelle pomme cannelle (originaire d’Amérique du sud…) On enlève cette peau qui ressemble à des écailles par morceaux pour découvrir une chair blanche dans laquelle on croque à pleines dents. S’il y a beaucoup de gros pépins noirs, la saveur est, là aussi, incroyable. Je n’ai jamais mangé de fruit aussi savoureux.
– Vais-je parvenir à me mouvoir?
Oui, j’y parviens… mes jambes supportent encore ce poids inhabituel sur mon estomac… Nom de Zeus, qu’est-ce que c’était bon! Courir et faire 200 fois le tour du bateau? Pas mal comme idée… pour tomber à la baille à coup sûr. Sur le côté, la rampe est très étroite… enfin, malgré la quantité ingurgitée, j’arrive à me déplacer, ça doit être bon signe.
– Bon, on va faire la balade dans les canaux?
– Et bien d’accord.
– On va aussi visiter une fabrique de bonbons et puis une autre de miel…
– On est parti!
Je grimpe encore une fois dans l’annexe pour débarquer un peu plus loin. A peine nous pénétrons dans l’établissement de confection des bonbons à la noix de coco, une pluie diluvienne s’abat sur la région. Une vraie pluie de mousson comme je n’en avais pas vu depuis que je suis arrivé. Sous un espace couvert, une douzaine de femmes s’affairent à étaler la pâte à bonbon, à couper et à les emballer. Elles font tout cela en discutant et en souriant, ce qui est plutôt sympathique quand je vois la tâche répétitive.
Nous sommes contraints à rester en raison de la pluie. Je peux goûter du thé et les bonbons fabriqués sur place. Même si ça se calme, la pluie ne s’arrête pas, monsieur Kinh souhaite que nous continuons en fonction de l’agenda à tenir. Je dois avouer que parfois, il est un peu speed même s’il est très attentif à ce que je passe le meilleur séjour possible. Histoire d’éviter le chemin de terre complètement embourbé, nous prenons une charrette tirée par un âne. Décidément, j’aurai tout fait! Je n’ai bien évidemment pas de parapluie et suis plutôt mouillé…
Sept ou huit minutes de soubresauts plus tard, nous arrivons à la fabrique de miel où m’attendent plein de fruits, de thé citronnée avec du miel et des dizaine d’abeilles. Ouh la… j’ai failli l’avaler celle-là ! Comme à chaque fois, je suis reçu dans l’arrière cour de la maison qui doit faire aussi restaurant. Je peux encore manger?… Faut croire… L’endroit est bien agréable et j’en profite pour acheter du miel même si je suis inquiet pour le poids de ma valise. Le guide se remet à me presser:
– Faut y aller là ! Faut qu’on continue!
– Déjà ?
– Oui. On est en retard! Et puis je suis inquiet pour la pluie. Allez!
– Ok, ok…
Voilà bien pourquoi je n’aime pas les voyages organisés…
Je dois sauter entre les flaques d’eau – la pluie a enfin cessé – pour aller jusqu’à une barque sur une petite rivière au milieu des palmiers. L’embarcation n’a pas du tout de moteur. Nous sommes donc à la rame. Le calme nous enveloppe aussitôt que nous avançons. L’endroit est superbe et l’impression qu’il laisse sur soi est forte. L’avancée dure une dizaine de minutes jusqu’au bout de ce canal pour nous retrouver d’un seul coup sur un bras important du Mékong d’où surgit le bateau! Je ne m’attendais pas à arriver sur un endroit aussi vaste et actif après le calme et la largeur du passage. Qui plus est, un homme marche dans cette rivière et remonte le courant. L’eau jusqu’au torse, tenant quelque chose sur la tête, il coupe le limon qui se referme aussitôt derrière lui. Que fait-il? Où va-t-il?
Derniers milles en bateau. Nous sommes en route pour My Tho, c’est la fin du rêve… Aussitôt, les bords du Mékong se décorent de maisons et de constuctions: je suis de nouveau en ville. Sur le ponton, tout l’équipage vient me serrer la pince et je les regarde s’éloigner de l’annexe qui me sépare de mon royaume flottant. Gestes d’adieu. J’ai laissé un confortable pourboire qu’ils se partagerons pour les remercier de ces moments inoubliables.
Je reprends le minibus comme il y a 3 jours avec le même chauffeur en direction d’Ho Chi Minh. La route est constellée de vélomoteurs. J’ai l’impression de traverser un champ d’astéroïdes (mais si je l’ai déjà fait! Han Solo, le Faucon Millenium, L’Empire contre-attaque!) Il faut être un pilote aguerri pour les éviter. Retour à la civilisation. Il est un peu plus de 16h et les écoliers et lycéens sortent. Le champ des gros astéroïdes: poids lourds, voitures… se densifient avec des plus petits: vélomoteurs, vélos… Les cyclistes sont habillées en blanc (uniforme) et je contemple toute cette danse derrière le parebrise.
– Tiens… que se passe-t-il? une urgence?
Le chauffeur sort, ouvre le capot du moteur et sort une pièce assez grosse avec deux parties rondes.
– Euh… c’est normal?
Nous repartons pour nous arrêter un peu plus loin, devant un garagiste.
– Bon… Ah, ce n’est que le klaxon? Ah mais oui… dans ce pays des fous du volants, il est vrai que l’outil est absolument indispensable!
On attend la réparation à coups de soudure et on repart!
Je suis conduit dans l’hôtel de mon choix qui est en fait celui où j’ai déjà dormi le premier jour. De plus, j’y ai laissé une grosse valise pour ne pas l’amener sur le bateau. J’ai aussi réservé une chambre. J’y retourne donc. J’aurais dû cependant réfléchir un peu plus pour aller dans un hôtel recommandé par monsieur Kinh. L’homme connaît la ville parfaitement et je suis sûr qu’il a de bonnes adresses à faire découvrir. Je m’organiserai la prochaine fois.
J’arrive dans ma chambre, il est environ 19 heures. Je me rends compte que je suis assez fatigué et par ailleurs – sans aucun rapport – bien bronzé. Le miroir me montre un visage bien doré qui fait plaisir à voir. Trois jours sur l’eau et voilà le résultat. Faut que j’y retourne tout de suite pour rentrer brun au Japon! 😀
Après une douche pour me détendre, je décide d’aller explorer le quartier chinois de nuit puisque je n’ai pas eu le temps le jour où je suis arrivé après m’être écroulé dans mon lit. Je pars me perdre dans les rues. Aussitôt, je retrouve cette activité nocturne des trottoirs qui me plaît beaucoup. Les restaurants sont pleins avec les clients assis sur ces mêmes petites chaises en plastique, autour des tables toutes aussi petites. Des amis discutent, des gens se baladent, des personnes boivent à un bar, des familles se retrouvent devant leur magasin. A un moment, je tombe sur la rue des magasins de mariage qui rivalisent en proposant la tenue la plus kitsch ou la photo de mannequin la plus retouchée… Couleurs locales…
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On ne peut pas se tromper, nous sommes vendredi soir. L’ambiance est plus à la fête, aux sorties que les autres jours. J’entends de la musique et me dirige aussitôt dans sa direction pour voir. Je tombe sur un karaoke chinois installé dans un restaurant chinois. Ceci dit, en raison du quartier, il y a beaucoup de restaurateurs chinois… A 50 mètres de là , une autre mélodie… avec plein de lumière! Je fonce!
Une scène pas possible avec un jeune qui se démène comme un fou est installée devant un public plutôt passif. Hilarant. Un autre jeune homme monte sur la scène après que l’autre a été remercié par le présentateur équipé d’un micro. S’agit-il d’un concours de jeunes talents en quête de public? aucune idée. Cette musique, cette danse, ce chant… tout cela est vraiment typique de cette région du monde. Je retrouve des moments déjà vécus ici même ou en Chine, en Thaïlande…
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Un peu plus loin, je vois un café assez tendance, avec des jeunes devant. Il s’appelle Bao Quang. Je m’y risque. L’idée est bonne et je retrouve avec un cocktail rempli de glaçons… bon, même si ce n’est pas recommandé, je le bois. J’ai aussi eu besoin de deux serveurs pour comprendre le menu entièrement en vietnamien. Il faut quand même savoir que Cam signifie orange… Comme ils ont fait l’effort de réviser leur vocabulaire anglais des fruits pour moi, je n’allais pas non plus refuser parce qu’il y a des glaçons. L’endroit est agréable avec plein de guirlandes et des balcons qui donnent une vue sur la terrasse et la végétation.
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Je rentre vers l’hôtel un peu plus tard et je tombe sur une supérette – j’ai l’impression d’être dans un 7-Eleven. Il y a plein de produits étonnants et beaucoup sont importés du Japon… Amusant. J’achète quand même des galettes de sésame noir et de noix de cajou typiquement vietnamiennes.
Comme la télévision de ma chambre est reliée à TV5, cela me donne envie de prendre des nouvelles de la Birmanie et des manifestants. Pendant le journal, je découvre effaré des images de Lekima, le typhon dont nous avons vu la queue depuis le bateau. Le centre et le nord du Vietnam ont été complètement balayé et on compte les morts… J’ai l’impression d’avoir encore de la chance, comme il y a quatre ans, en Thaïlande, le jour du tsunami…
Newsletter ou flux RSS:
Tu avais pris des notes au jour le jour ? Sinon, solide travaille et d’organisation pour la retranscription.
Bon, je laisse les compliments au placard, difficile ca c’est vraiment un super récit, il y a de tout, on ne s’embéte pas et j’y reviens plusieurs fois !!! bravo patron continue et merci de partager
Mo²
Moi je suis parti en voyage total, c’est toujours aussi hallucinant et exotique.
Une surprise à la fin, je connais la chaine seven/eleven aux USA mais je n’aurais jamais imaginé que c’était une multinationale!
Celui-ci aussi j’y reviendrai mais quelle aventure !!!!
Marchi les gars. Vraiment. Vous êtes des fidèles et ça me touche carrément! 😀
Oui Régi. Je prends des notes sur chaque journée. Ensuite, je rédige et je saisis ici, à la maison. Juste pour info: chaque article me prend entre 15h et 20h de boulot… rédaction saisie, correction, récriture, tri des photos, retouche des photos, upload des photos, mise en page… c’est pour cela que je ne publie pas aussi souvent que je le voudrais… 😉
Oui oui Gil. 7-eleven est très développé au Japon mais aussi dans d’autres pays d’Asie comme en Thaà¯lande.
En effet, les retours sont toujours difficiles, d’autant lorsque les voyages sont magnifiques.
Et j’aime beaucoup la traversée de la rue.