La température a considérablement baissée… soutenue par le vent, elle nous brûle le visage quand on s’enfonce dans les petites rues, au détour d’un carrefour… les gens ont la tête enfouie dans leur col, leur écharpe, parfois même, leurs écharpes. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, on se réfugie dans un café pour se réchauffer autour d’un expresso, d’un chocolat dont on câline la tasse avec ses mains comme si on tenait une statue antique d’une grande valeur. On se réchauffe.